Le roman graphique de Jérémie Dres, jeune Parisien juif parti à la recherche des mânes de sa grand-mère, parle de la Shoah sans entrer dans son sanctuaire le plus emblématique : Auschwitz. Il s’est davantage intéressé aux juifs vivants que morts.
Son truc à lui, c’est la curiosité, c’est de chercher à comprendre.
Il vient de perdre sa grand-mère, Téma Dres, juive polonaise à l’accent yiddish indélébile. Que ce soit à travers son bouillon de poule aux kneidlers, avec ses latkès façon hongroise, ou avec son enfance varsovienne, elle a transmis à ses petits enfants une partie de cette culture ashkénaze disparue avec la « catastrophe. »
Il vient de perdre sa grand-mère, Téma Dres, juive polonaise à l’accent yiddish indélébile. Que ce soit à travers son bouillon de poule aux kneidlers, avec ses latkès façon hongroise, ou avec son enfance varsovienne, elle a transmis à ses petits enfants une partie de cette culture ashkénaze disparue avec la « catastrophe. »
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